France, militant antifasciste assassiné
Le 5 juin dernier, en France, un militant d’extrême gauche a été mortellement battu.
En fait, ce dernier était à la tête d’une manifestation d’extrême gauche. Le militant nommé Clément Méric et âgé de 18 ans a fait circuler des milliers de personnes dans les rues et a poussé les autorités à interdire un rassemblement d’extrême droite.
La mort du jeune adulte serait liée aux militants d’extrême droite (racisme, homophobie et *antisémitisme*).
Clément est un antifasciste qui est mort dû à la haine de quelques fascistes.
Le manifestant a été apporté d’urgence, dans un état critique, à l’hôpital le jour de son attaque. Son décès a été rapporté le lendemain matin. Donc, ses agresseurs l’ont laissé agoniser.
La police a gardé 8 fascistes en garde à vue, dont 4 s’étant livrés eux-mêmes et 4, incluant le présumé auteur des faits, ont été interpellés en banlieue parisienne, le jeudi 6 juin. Les 8 fascistes seront interrogés, les policiers vont écouter les témoignages des témoins visuels, ils vont regarder les caméras de sécurité et vont observer l’autopsie de la victime afin de pouvoir porter des accusations à ceux qui le méritent.
À la suite de la tragédie, de nombreux rassemblements se sont propagés en hommage à Clément Méric. Dans la soirée de la date de décès du manifestant, plus de 15 000 français ont manifesté en criant : «pas de fascistes dans nos quartiers, pas de quartier pour les fascistes».
Manuel Valls, politicien français, a annoncé que des groupes d’extrême droite seraient sans doute dissous. Par exemple, les autorités françaises ont interdit à un groupe de fascistes de créer un rassemblement, le vendredi 7 juin.
Manuel Valls est très inquiet, car il a observé que les mouvements fascistes sont «en train de ressurgir», entre autres comme on a pu le voir lors des nombreuses manifestations contre le mariage homosexuel.
Antisémitisme : Avoir de la haine envers les juifs.