L'Honduras et la police

Les forces policières existent de sorte à faire régner l’ordre et à assurer la sécurité de la population. Mais, est-ce que TOUTES les personnes occupant le statut de «policier» accomplissent cette attente ? Pas tout à fait…

En effet, au Honduras, où est situé le plus élevé taux mondial d’homicides, (en 2012 on y comptait 85,5  homicides pour 100 000 habitants, ce qui équivaux à dix fois  la moyenne mondiale) s’y retrouverait un grand nombre de policiers corrompus. En fait, plusieurs policiers du pays seraient liés au crime organisé.

Afin de résoudre ce problème majeure, la Direction des investigations et d’évaluation de la carrière policière (DIECP) a débutée, le lundi 6 Avril, une évaluation qui concernera tous les hauts-responsables (officiers et sous-officiers) de l’institution policière du pays. Lors de cette évaluation, les officiers et sous-officiers seront confrontés à des tests de dépistages anti-drogue, des examens psychologiques et à une interrogation faite à l’aide de détecteurs de mensonges. De plus, la DIECP enquêtera sur le capital des candidats ainsi que celui de leurs proches de sorte à s’assurer qu’il correspond réellement au revenu qu’ils déclarent. police-honduras_2271203b

L’intervention de la DIECP est loin d’être inutile, car l’Honduras doit faire face à plusieurs cartels de narcotrafiquants (trafiquants de drogue) et à des guerres territoriales de bandes criminelles, qui recrutent dans les quartiers pauvres des grandes villes. (Ce qui fait que leurs effectifs est toujours en croissance)

En d’autres mots, la DIECP doit bien travailler de sorte à permettre à la justice de dominer le crime au Honduras, car actuellement ce n’est pas le cas.

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