Wkg company

L’essor d’une compagnie québécoise avec des jeunes d’ici. Vous avez surement déjà vu les chandails de la marque «Wkg» soit à l’école ou ailleurs, depuis leur sortie en juillet 2017. La compagnie, dont le fondateur est Sean Lane, connait une popularité grandissante auprès des jeunes.

Tout a commencé lorsque Sean est revenu de Montréal avec sa casquette qu’il s’était « customisé » chez Lidz. Tout le monde lui disait que c’était beau et il recevait plusieurs compliments sur sa casquette. C’est alors que Sean s’est dit : « Pourquoi ne pas partir une marque? » Il a décidé d’en parler à sa gang, et sans hésiter ils ont tous embarqués dans le projet.

Avant de se faire appeler Waterking, les membres avaient en tête « dofin » puisque le logo de base est un dauphin, mais ce n’était pas assez, il fallait quelque chose de plus original. De plus, le nom était déjà pris, donc ils ont opté pour un autre nom. C’est à ce moment que Manuel B Pires eu l’idée du nom Waterking et tout le monde a accroché tout de suite. « Après de nombreuses réflexions, le terme Wkg a été choisi, soit Waterking pour l’été et Winterking pour l’hiver» nous confia Sean. Ils font faire leurs chandails dans une petite broderie près de Saint-Denis-de-Brompton qui se nomme Lettrage PM.

Dans la compagnie, tout le monde donne ses idées pour les designs et les logos. Sean, Tristan et Kevin créent la plupart des croquis. «Cependant, Kevin a un grand talent pour faire des logos, alors cette tâche lui est accordée», précise Sean. « Il reproduit les croquis sur Photoshop et il nous les montre pour que nous donnions notre avis avant de les enregistrer.» Dans l’équipe, Sean Lane est le fondateur et il a trouvé l’idée de base, Kevin Cadorette est le co-fondateur, graphiste et webmaster, Tristan Pratte est admin aux communications et Manuel B Pires s’occupe du marketing.

Pour l’instant, l’équipe de Wkg n’a pas l’intention d’ouvrir un magasin, car en tant qu’étudiants payer un magasin dépasserait leur moyen. Cependant, si une opportunité d’ouvrir un magasin leur est offert, ils vont certainement penser aux points positifs et négatifs de la chose.

«Quand on détient une compagnie de vêtements, le travail et les responsabilités sont au rendez-vous. Mais la chose qu’il ne faut pas oublier, c’est qu’on est une équipe, et que tout seul, je n’aurais rien réussi. Je suis fier de dire merci à tout le monde de mon équipe et à tout ceux qui nous encourage chaque jours. Sans Kevin, Tristan et Manuel, Wkg company ne serait rien aujourd’hui», nous confia Sean.

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Rédigée par Alexane Gauthier et Christelle Gilbert