La jeunesse prendra la relève

 

Dans l’optique de redonner à la jeunesse d’aujourd’hui qui sera la génération  qui reprendra le flambeau, la ministre Christine Saint-Pierre a assisté à l’ouverture de la SAGNU.

Elle compte à son actif plus de 30 ans au titre de journaliste, mais elle remarquait que les gestes qu’elle faisait n’apportent pas assez au Québec.

C’est donc pourquoi elle s’est donc dirigée vers la politique. Depuis maintenant 11 ans la ministre Saint-Pierre occupe le poste de ministre des Relations internationales et de la Francophonie. Nous avons donc eu la chance de lui poser quelques questions lors de la 20e édition de la Simulation de l’Assemblée générale des Nations Unies (SAGNU).  

La journée d’une ministre commence très tôt. Elle doit se tenir au courant des nouvelles pour savoir comment aborder la journée. Quand elle part à l’étranger, par exemple en Inde la semaine passée, il y a toujours une raison. La semaine dernière, c’était pour le Sommet sur le développement durable. Elle a été invitée pour parler du rôle des États fédérés dans la lutte contre les changements climatiques. Elle fait valoir les capacités de partenariat et comment on peut faire pour approfondir nos échanges commerciaux et d’essayer de stimuler des échanges.

Après avoir porté le chapeau de journaliste, elle s’est lancée dans la politique. Madame St-Pierre a dit sur son changement de profession « j’avais comme journaliste cette curiosité de savoir ce qui se passait de l’autre côté des portes ». Malgré son passé de journaliste, elle ne prédit pas nécessairement les questions qu’on lui pose.  

Pour la ministre St-Pierre la jeunesse est un point à ne pas prendre à la légère. Que dans les jeunes présents à la SAGNU,  nous pourrions retrouver des médecins, des politiciens et ou même des futures journalistes. La ministre souhaite aux jeunes de développer leur ouverture d’esprit et les encourage à prendre position sur les enjeux de la vie en générale qui leur tient à coeur.

 

Par

Zak Langlois de l’École secondaire de La Ruche

Océane Dandurand de l’École secondaire l’Odyssée